Mouvement étudiant

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  • Mini-dossier : 2012, an dix

    Mini-dossier : 2012, an dix

    Grève en région. Faire bloc

    Discussion avec Clémence Harvey, travailleuse sociale et ancienne étudiante au cégep de Matane

    Celles et ceux qui, comme Clémence Harvey et moi [1], ont fait la grève en région se souviendront de la réflexion entourant le poids de nos petites associations dans le mouvement. Retour sur la grève à l’est de Rimouski et sur les formes de politisation qu’elle a générées. Propos recueillis par Miriam Hatabi.

  • No 084 - été 2020

    Sous la loupe

    L’histoire méconnue des grèves d’élèves du secondaire

    Les récentes mobilisations des élèves du secondaire pour la défense du climat sont historiques à l’échelle planétaire. À Montréal, la marche pour le climat du 27 septembre 2019 aurait été l’une des plus grandes manifestations de l’histoire du Canada. Des jeunes se mobilisent également dans leur école pour exiger la mise en place d’un service de compost ou pour l’utilisation d’ustensiles biodégradables à la cafétéria. D’autres rejoignent le réseau Extinction Rebellion pour mener des actions de désobéissance civile.

  • No 084 - été 2020

    Mémoire des luttes

    Grève étudiante de 2012. Rire aux larmes

    Entremêlé avec d’autres formes d’action, l’humour s’est manifesté à de nombreuses reprises durant la grève étudiante de 2012. On le retrouvait dans les manifestations, que ce soit par les thématiques de celles-ci, par les pancartes brandies, par les slogans scandés ou par les personnages colorés qui sillonnaient les rues.

  • No 086 - décembre 2020

    Mémoire des luttes

    ZLÉA : Le mouvement étudiant contre la globalisation néolibérale

    Du Sommet des Amériques à la grève continentale

    Au Québec, les grèves pour le climat de 2019 n’étaient pas les premières grèves « internationales ». Le 31 octobre 2002, 10000 personnes prennent d’assaut les rues de Montréal pour s’opposer à la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA), à l’initiative du mouvement étudiant. Un an après le Sommet des Amériques, le mouvement étudiant québécois se positionne à l’avant-garde de cette lutte internationale.

  • No 079 - avril / mai 2019

    Mémoire des luttes

    Étudiant·e·s internationaux. Résonance d’une histoire oubliée

    Migrant·e·s transitoires et parfois vaches à lait des universités québécoises, les étudiant·e·s internationaux passent volontiers sous le radar des médias, des chercheurs et des chercheuses malgré leur nombre croissant – entre 30 000 et 40 000 chaque année depuis depuis 2010 – et leur importance grandissante dans l’internationalisation de l’enseignement supérieur.

  • No 074 - avril / mai 2018

    Observatoire des luttes

    Le mouvement étudiant. L’heure des bilans

    Pour la première fois depuis presque une décennie, l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE) n’organisera pas de manifestation nationale au cours de l’année scolaire. À l’exception d’un contingent pris en charge par l’organisme Femmes de diverses origines lors de la manifestation annuelle du 8 mars, ce constat est un signe parmi bien d’autres de l’essoufflement de l’aile la plus combative du mouvement étudiant québécois.

  • Dossier : Justice pour toutes !

    Dossier : Justice pour toutes !

    Pour une justice transformatrice

    Pendant la grève étudiante de 2012, il y a eu une vie collective foisonnante à Montréal. Malgré la créativité, les apprentissages, et l’empowerment collectif, plusieurs problèmes existants ont été amplifiés, notamment le sexisme et le machisme. C’est de ce contexte qu’a émergé l’expérience québécoise de justice transformatrice.

  • No 079 - avril / mai 2019

    Les mouvements pour un salaire étudiant

    Un combat pour la légitimité économique des personnes en formation

    Nous publions ici la version intégrale d’un article d’Aurélien Casta paru en version abrégée dans le magazine des Comités unitaires sur le travail étudiant (CUTE). L’auteur remercie les membres des CUTE et en particulier Annabelle Berthiaume pour leur proposition et leur relecture des différentes versions de ce texte, ainsi que Maud Simonet, Bernard Friot et Laura pour leurs suggestions.

  • Dossier : Cégeps – 50 ans d’existen

    Dossier : Cégeps. 50 ans d’existence

    La grève et ses soirs vaporeux

    Mon passage au cégep a été marqué par la grève étudiante de 2012 et par mon implication comme président de l’association étudiante du Collège d’Alma. Le cégep était déjà une expérience riche en apprentissages pour moi et mes collègues étudiant·e·s. Nous formions une véritable communauté d’apprenants provenant de disciplines scolaires totalement différentes : sciences naturelles, sciences humaines, littérature, musique, arts, ébénisterie, métallurgie, informatique, agriculture, etc. Comme nous étudiions alors dans un petit milieu et que nous nous connaissions déjà pour la plupart avant notre entrée au cégep, nous ne vivions pas notre parcours scolaire en vase clos comme aurait pu faire en sorte le découpage en programme d’études. Le soir venu – et parfois sous influence de lubrifiants sociaux – nous rêvions de changer le monde, nous discutions d’œuvres d’art et de morceaux musicaux, nous développions des projets de toutes sortes, mais surtout, nous essayions de trouver ce qui faisait ou devait faire sens pour nous.

  • No 073 - février / mars 2018

    Les stages rémunérés, c’est CUTE !

    Entrevue avec les militantes Camille Tremblay-Fournier et Sandrine Belley

    D’abord parue en une version courte publiée dans le numéro 73, voici la version plus élaborée de la rencontre avec ces militantes. Nous la publions aujourd’hui puisque les Comités unitaires sur le travail étudiant (CUTE) profiteront de la journée des droits des femmes pour appeler à l’action et diffuser les perspectives féministes de cette campagne, intrinsèquement liée à la reconnaissance et la valorisation du travail invisible des femmes.

  • No 069 - avril / mai 2017

    Retour sur une avancée populaire et démocratique

    Les 40 ans de la loi 101

    Mémoire des luttes

    L’histoire officielle a tendance à attribuer la paternité de la Charte de la langue française au seul Parti québécois. Or, elle découle en réalité d’importantes mobilisations sociales, parmi lesquelles figure avantageusement l’action déterminée du mouvement syndical et du mouvement étudiant. On l’oublie parfois, mais ces mobilisations s’enracinent dans une longue trajectoire populaire de résistance à l’oppression nationale.

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