Participation publique
Le diable est dans les détails
Dossier : Autocratie municipale
Personne n’est contre la vertu. La participation publique (PP) aux décisions collectives concernant les grands projets est aujourd’hui devenue une évidence. Ce nouvel « impératif délibératif [1] » est intégré à la nouvelle gouvernance et l’acceptabilité sociale est son mantra. Mais qu’en est-il ? Doit-on se méfier de la démocratie participative ? Connaît-on les effets contre-intuitifs de plusieurs expériences québécoises ? Rapide survol du côté sombre de la PP et de quelques pièges tendus à la démocratie participative.