Réformisme, nationalisme ou populisme ?
L’ère Morales et les défis de la stabilité politique en Bolivie
Dossier : Le populisme de gauche. À tort ou à raison ?
Evo Morales a été considéré comme populiste, de même que d’autres chefs d’États sud-américains, comme Hugo Chavez, et Rafael Correa. Comme eux, il a dénoncé l’élite et l’oligarchie, il s’est fait défenseur des classes populaires et des Autochtones. Après 14 ans au pouvoir, peut-on dire que son type de gouvernement a bien défendu sa population ?