Économie
La cécité du Conseil du patronat
Pour une deuxième année consécutive, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) a publié, en août, son Bulletin de la prospérité du Québec. Sans grande surprise, le Québec n’y reçoit pas une très bonne note (« C »). Main-d’œuvre trop coûteuse et inflexible, réglementation tatillonne, environnement d’affaires décourageant et situation des finances publiques incertaine provoqueraient une trop faible croissance du produit intérieur brut (PIB).