Déclaration universelle des droits de l’homme
Rompre avec la loi du plus fort
Force est de constater, 60 années après son adoption, que l’ordre souhaité à l’article 28 de cette déclaration historique est encore à venir. Proclamée à l’orée d’un monde bipolaire, la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) fut traduite depuis en 337 langues. Elle demeure une référence partout sur cette planète, au sens où tous les individus sont titulaires des droits et libertés qui y sont énoncés, du seul fait de leur appartenance à l’espèce humaine. Ces droits, inhérents, ont été affirmés tels au-delà des frontières, des nations et autres différences caractérisant les peuples et individus de notre monde. D’où sa portée universelle.